Bonjour les amis. Je suis vraiment ravi de vous retrouver après une période d’absence indépendante de ma volonté. Un
grand salut particulièrement à Mounir, Yassine, Hamid, Hicham, Omar … la liste est interminable. Je vous demande de m’excuser si je ne suis pas en mesure de citer quelqu’un en particulier. Et je souhaite particulièrement la bienvenue
aux nouveaux aquariophiles qui ont rejoint cette agréable communauté animée par la passion aquariophile.
Je suppose que bien d’entre vous ont du sensiblement améliorer leur niveau et capitaliser une bonne expérience.
Aujourd’hui je reviens vers vous avec quelques idées d’amélioration de nos aquarium en mettant l’accent à la fois sur le côté esthétique et aussi pratique.
Voilà un mois que j’ai épuisé mon stock de comprimés CO2 SERA que j’utilisais pour fertiliser mon bac de 54 litres et naturellement j’ai pensé m’orienter vers une méthode alternative. Sur internet j’ai trouvé un dispositif commercialisé par DENNERLE. Il s’agit d‘une fumure au CO2 basée sur la production de dioxyde de carbone à partir d’un processus biotechnologique de fermentation de levures sur un support de glucose gélifié. C’est la fameuse méthode dite
« artisanale » qui en fait ne l’est pas puisqu’elle a l’objet d’un dépôt de brevet en 1997 par la société AB7 Industries SA
Je vous présente ce brevet pour les besoins de la culture générale et aussi pour que l’on puisse tous comprendre qu’il ne faut jamais s’approprier le travail des autres ou l’attribuer à ceux qui n’y ont pas fait de contribution
Pour revenir à DENNERLE, observez un peu comment se présente leur produit
Il s’agit d’un flacon de gel renfermant au niveau du bouchon une gélule encapsulant de la levure à diluer dans de l’eau pour activer la production. Le CO2 est récupéré et acheminé dans un tuyau qui le conduit directement dans un deuxième flacon laveur (ou un petit compte bulle) où il sera débarrassé de ses impuretés avant d’être injecté dans le bac. Ce flacon après mise en service a une durée de vie d’un mois seulement. Je suppose pour ma part que cette limitation dans le temps est d’ordre purement commerciale et non technique ; vous pouvez facilement deviner pourquoi. Rien d’original jusqu’ici…
Comparons un peu ce procédé par rapport à ce que font la plupart des aquariophiles :
La quasi majorité d’entre eux utilise une bouteille de soda de 1,5 ou 2 litres remplie aux ¾ avec de l’eau tiède, de la levure boulangère et du sucre et çà fonctionne. Oui mais… une fois les ingrédients mélangés un processus de fermentation s’amorce, produisant du CO2 de manière totalement incontrôlable. En effet, les levures vont se mettre à consommer le sucre dans lequel elles baignent et produire du CO2 à un rythme élevé et surtout irrégulier risquant de faire monter dangereusement la pression dans la bouteille de réaction. Cette pression dépend essentiellement de 3 facteurs :
- Température de la solution ;
- Concentration et qualité des levures ;
- Concentration en glucose.
A cela viendra s’ajouter un facteur de taille auquel très peu d’aquariophiles font attention. La production de CO2 dans une solution aqueuse tend à l’acidifier et en faire baisser le PH, chose qui décimera fatalement les levures et stoppera
le processus. Voilà pourquoi, beaucoup de personnes ne comprennent pas le pourquoi d’un arrêt précoce de leur système.
Comparons ensemble le déroulement du processus avec la méthode du gel. Les levures en présence d’eau tiède ne coloniseront que la surface du substrat gélifié pour s’alimenter du sucre libéré dans l’eau au fur et à mesure de la dissolution fabriquant ainsi du CO2 à un rythme relativement constant et en quantité suffisante après quelques
jours de mise en service, à basse pression et surtout pendant longtemps. Regardez un peu cette comparaison entre les deux processus ( à gauche, la production de CO2 avec gel et à droite sans gel)
Je pense que déjà les arguments présentés commencent à militer en faveur de cette dernière méthode. Mais regardez encore une fois le flacon de DENNERLE. C’est un flacon droit et ce n’est pas par pur hasard!!! En utilisant une
bouteille de soda aux formes irrégulières et au fur et à mesure que le gel est consommé, les levures vont se trouver à chaque fois en présence d’une surface de contact qui rétrécit puis s’élargit en fonction de la forme de la bouteille
risquant de faire varier le rythme de production. A priori, on ne dispose déjà d’aucune visibilité sur le rythme de reproduction des levures…Si en plus on perd également le contrôle sur leur alimentation…
Partie 2 : Réalisation du mécanisme alternatif à DENNERLE
Partie 3 : Réalisation du gel et mise en service
grand salut particulièrement à Mounir, Yassine, Hamid, Hicham, Omar … la liste est interminable. Je vous demande de m’excuser si je ne suis pas en mesure de citer quelqu’un en particulier. Et je souhaite particulièrement la bienvenue
aux nouveaux aquariophiles qui ont rejoint cette agréable communauté animée par la passion aquariophile.
Je suppose que bien d’entre vous ont du sensiblement améliorer leur niveau et capitaliser une bonne expérience.
Aujourd’hui je reviens vers vous avec quelques idées d’amélioration de nos aquarium en mettant l’accent à la fois sur le côté esthétique et aussi pratique.
Voilà un mois que j’ai épuisé mon stock de comprimés CO2 SERA que j’utilisais pour fertiliser mon bac de 54 litres et naturellement j’ai pensé m’orienter vers une méthode alternative. Sur internet j’ai trouvé un dispositif commercialisé par DENNERLE. Il s’agit d‘une fumure au CO2 basée sur la production de dioxyde de carbone à partir d’un processus biotechnologique de fermentation de levures sur un support de glucose gélifié. C’est la fameuse méthode dite
« artisanale » qui en fait ne l’est pas puisqu’elle a l’objet d’un dépôt de brevet en 1997 par la société AB7 Industries SA
Je vous présente ce brevet pour les besoins de la culture générale et aussi pour que l’on puisse tous comprendre qu’il ne faut jamais s’approprier le travail des autres ou l’attribuer à ceux qui n’y ont pas fait de contribution
Pour revenir à DENNERLE, observez un peu comment se présente leur produit
Il s’agit d’un flacon de gel renfermant au niveau du bouchon une gélule encapsulant de la levure à diluer dans de l’eau pour activer la production. Le CO2 est récupéré et acheminé dans un tuyau qui le conduit directement dans un deuxième flacon laveur (ou un petit compte bulle) où il sera débarrassé de ses impuretés avant d’être injecté dans le bac. Ce flacon après mise en service a une durée de vie d’un mois seulement. Je suppose pour ma part que cette limitation dans le temps est d’ordre purement commerciale et non technique ; vous pouvez facilement deviner pourquoi. Rien d’original jusqu’ici…
Comparons un peu ce procédé par rapport à ce que font la plupart des aquariophiles :
La quasi majorité d’entre eux utilise une bouteille de soda de 1,5 ou 2 litres remplie aux ¾ avec de l’eau tiède, de la levure boulangère et du sucre et çà fonctionne. Oui mais… une fois les ingrédients mélangés un processus de fermentation s’amorce, produisant du CO2 de manière totalement incontrôlable. En effet, les levures vont se mettre à consommer le sucre dans lequel elles baignent et produire du CO2 à un rythme élevé et surtout irrégulier risquant de faire monter dangereusement la pression dans la bouteille de réaction. Cette pression dépend essentiellement de 3 facteurs :
- Température de la solution ;
- Concentration et qualité des levures ;
- Concentration en glucose.
A cela viendra s’ajouter un facteur de taille auquel très peu d’aquariophiles font attention. La production de CO2 dans une solution aqueuse tend à l’acidifier et en faire baisser le PH, chose qui décimera fatalement les levures et stoppera
le processus. Voilà pourquoi, beaucoup de personnes ne comprennent pas le pourquoi d’un arrêt précoce de leur système.
Comparons ensemble le déroulement du processus avec la méthode du gel. Les levures en présence d’eau tiède ne coloniseront que la surface du substrat gélifié pour s’alimenter du sucre libéré dans l’eau au fur et à mesure de la dissolution fabriquant ainsi du CO2 à un rythme relativement constant et en quantité suffisante après quelques
jours de mise en service, à basse pression et surtout pendant longtemps. Regardez un peu cette comparaison entre les deux processus ( à gauche, la production de CO2 avec gel et à droite sans gel)
Je pense que déjà les arguments présentés commencent à militer en faveur de cette dernière méthode. Mais regardez encore une fois le flacon de DENNERLE. C’est un flacon droit et ce n’est pas par pur hasard!!! En utilisant une
bouteille de soda aux formes irrégulières et au fur et à mesure que le gel est consommé, les levures vont se trouver à chaque fois en présence d’une surface de contact qui rétrécit puis s’élargit en fonction de la forme de la bouteille
risquant de faire varier le rythme de production. A priori, on ne dispose déjà d’aucune visibilité sur le rythme de reproduction des levures…Si en plus on perd également le contrôle sur leur alimentation…
Partie 2 : Réalisation du mécanisme alternatif à DENNERLE
Partie 3 : Réalisation du gel et mise en service